Faut il croire que 6% de 400ppm (maxi) de CO2 anthropique (dus à l’activité humaine) dans l’atmosphère peut provoquer par effet de serre (de plus par emballement pour rendre la chose encore plus imperceptible et inextricable), une élévation d’environ 1.5°c de la température de l’air, de la terre, des mers et océans ? Le CO2 représentant par ailleurs 0.033% du volume atmosphérique. Où y a-t-il une cohérence des énergies (en joules) de l’émetteur le CO2 , et des récepteurs, les eaux, la terre, l’air ? Le premier, et de loin, le plus ‘puissant’ des gaz à effet de serre est l’eau, sous ses 3 formes, d’ailleurs, gaz, liquide, solide. Le PRP (pouvoir de réchauffement pondéré) de la vapeur d’eau est de 99.41%, celui du CO2 n’est que de 0.45% (~200x moins que la vapeur d’eau !!!) et celui du méthane 0.045%, dans les mêmes conditions. De plus chacun de nous, peut l’observer, que se passe t il quand un nuage (le nuage, c’est de l’eau) passe devant les rayons du soleil, quand le ‘temps’ est maussade, et là il ne s’agit pas d’une différence de 1.5°c mais de 10x plus, et à la baisse et non à la hausse et de plus, très rapidement, en quelques heures ! Alors ?

Le décor est planté. SVP, expliquez moi maintenant, mais avec des chiffres, des relevés vrais non extrapolés, des formules vraisemblables et non inventées ou adaptées pour prouver que l’on a raison en s’efforçant de retrouver ce que l’on cherche sans vraisemblance , des observations continues et non ponctuelles faites lors d’une campagne de mesures. J’attends toujours, après presque un an depuis la première publication de ce post à travers entre autres FB avec 5000 amis, une démonstration d’un scientifique diplômé ou d’une équipe honnête, non ‘influencé’. Apportons ensemble des preuves irrévocables sur ce sujet qui permettront de prendre des décisions tranchées. Oui ou non, est ce vrai ? Ensuite, comment peut-on croire que la France produisant 0.9% du CO2 émis dans le monde, puisse redresser la situation ? Ne nous prenons pas pour le nombril du Monde, laissons faire les autres … et surtout laissons les dépenser des fortunes pour lutter, soit disant, contre le réchauffement. Oui il y a réchauffement, les pôles et nos glaciers fondent. Non ce n’est pas le CO2 qui en est la cause. La température moyenne de surface des eaux des océans est en constante augmentation régulière depuis 1910 !!! jusqu’à ce jour, passant de -0.4°c à +0.6°c, soit 1°c en un siècle. Attention, remarque importante, la température est aujourd’hui positive … c’est donc naturel que les glaces arctiques fondent au dessus de zéro. Alors ? Le réchauffement semble venir d’abord des océans ?

Au contraire, les gaz à effet de serre sont des éléments régulateurs de la température. Sans eux pas de vie sur terre (écart de température jour/nuit maitrisé et viable), ils filtrent les UV, tempèrent les infrarouges, bloquent la plupart des rayonnements cosmiques. De plus le CO2 est un gaz vital, sans lui pas de végétation, et donc pas de vie sur terre, ni dans les océans. Oui le taux de CO2 est en croissance exponentielle et non stabilisé depuis l’année 1800, tiens, bizarre !, nous les hommes, nous polluions déjà comme des imbéciles depuis cette datte ?, C’est cela qui vous inquiète ? Et bien oui cherchons la cause, une cause vraisemblable. C’est une évaporation plus importante des eaux des mers et des océans qui est la conséquence de l’élévation des températures générales, par effet de serre. Ceci change le point de consigne thermique de notre bouclier atmosphérique régulateur. Car l’atmosphère et ses gaz à effet de serre jouent plus le rôle de filtration des rayons du soleil (heureusement, beaucoup d’entre eux sont dangereux, UV, cosmiques) et un rôle double et opposé de modérateur et d’effet de serre très très faible (voir en fin de lecture) sur le rayonnement infra rouge. Petite parenthèse. J’utilise le terme « effet de serre » comme tout le monde, les médias, les politiques, et ceux qui sont et veulent rester politiquement corrects, mais cette expression n’est pas appropriée à la réalité que l’on va découvrir tout le long de ce document. Je reprends le sujet. L’eau liquide est le vecteur de transport idéal de la chaleur, étant 816 fois plus dense que l’air (gaz) pouvant ‘rapidement’ (toute chose étant égale par ailleurs) affecter par les courants marins, les pôles et certaines côtes maritimes puis l’atmosphère.

Question. Qu’est ce qui peut réchauffer les eaux de façon conséquente, énergie importante et rapide (à l’échelle de la planète, bien sûr) ? Il n’y a que deux sources possibles, pas trois, pas quatre … Soit notre soleil soit des activités magmatiques profondes au niveau des dorsales océaniques, soit les deux, vraisemblablement. L’activité solaire (éruptions solaires) semble être quasi normale en moyenne sur la période qui nous concerne, un siècle, mais est il raisonnable de moyenner cette valeur ? Non parce qu’une certaine concomitance, avec une activité magmatique, peut expliquer certaines pentes des courbes que l’on verra plus loin. Dans le détail, l’activité solaire est quantifiée par une valeur moyenne d’émission et un comptage des éruptions qui apparaissent sous forme de taches. L’activité solaire présente ainsi plusieurs cycles de 11, 22, 90, 180 ans à l’échelle qui nous intéresse. Ceci est dû à l’effet dynamo, à la rotation du soleil et aux forces d’attractions avec les planètes. L’influence de ces cycles sur le climat ne sont plus à démontrer et acceptée par tous.

Variabilité de l’activité solaire et impacts climatiques
Les activités volcaniques, par contre elles, ont été plus nombreuses en dépit même de soit disant manque de transfert d’informations ‘journalistiques’ sur le sujet, parce que banal, sans intérêt, ce qui est une raison stupide et qui n’a rien à voir avec les faits. Les activités volcaniques les plus efficaces à un réchauffement climatique, sont celles aux niveaux des dorsales marines, parce que l’échange thermique est immédiat et total, sans déperdition. C’est une explication techniquement plausible compte tenu de la masse d’énergie en peu de temps à produire et certaines observations comme la fonte des glaciers du pôle Sud par la langue de ceux-ci qui se prolonge dans l’océan, par la fonte du permafrost sur le littoral et bien sûr la fonte du pôle Nord (calotte glacière sur l’océan). A 6000m de profondeur dans les océans, les observations ne sont ni continues ni exhaustives géographiquement. De plus, les satellites ne semblent pas être en mesure de voir les dégagements thermiques en profondeur, la couche d’eau et la température de surface masquent les rayonnements infra rouges émissifs des dorsales, d’autant plus que celles-ci sont certainement fugitives (quelques jours ou quelques heures … ?) étant donné que l’eau froide des profondeurs étouffe rapidement l’émission magmatique et transfert rapidement les joules dans des courants marins de profondeur à grandes salinités.

Deux fois plus haut que la tour Eiffel, un volcan sous-marin affole les scientifiques, annonce de Paris Match le 22 octobre 2019 11:57 Illustration d'un volcan sous-marin. CHRISTOPH GERIGK / BIOSPHOTO / AFP

Un volcan sous-marin, récemment découvert à Mayotte, est surveillé de très près par les scientifiques. Il est large comme la moitié de Paris et provoque des séismes qui ont fait s'affaisser Mayotte de 15 cm : le volcan sous-marin récemment découvert au large de cette île de l'océan Indien, est surveillé comme le lait sur le feu par les scientifiques. Le volcan a été découvert le 15 mai 2019 par une mission scientifique lancée après des déformations du sol et des secousses dont certaines ressenties à Mayotte atteignaient 5,8 sur l'échelle de Richter. Le CNRS, l'Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP), l'Ifremer et le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) ont placé des sismomètres au cœur des zones de séismes et renforcé les réseaux de surveillance à terre. Et c'est en sondant les fonds marins depuis un navire océanographique que les scientifiques ont découvert le volcan. Preuve que nous n’avons pas un regard en temps réel sur les activités magmatiques en mer profonde. Ce qui le distingue des autres, c'est sa taille : «800 m de haut, plus de deux fois la tour Eiffel, sa surface couvrirait la moitié de Paris», rapporte Nathalie Feuillet, physicienne à l'IPGP, qui ajoute qu'il est «très rare» de voir naître un tel édifice. Son éruption constitue la plus importante émission de lave sur Terre depuis le 8 juin 1783, le volcan islandais Laki entre en éruption. Les conséquences pour toute l'Europe en sont dramatiques. https://www.herodote.net/8_juin_1783-evenement-17830608.php Retenez cette date, plus loin dans mon document, je parlerai de l’année 1700 et quelques. Elle a déclenché la vidange de la poche de magma qui se trouve sous Mayotte, provoquant progressivement l'affaissement de l'île de 15 cm et son déplacement vers l'Est de 20 cm en un an. Une quinzaine de sismomètres et de capteurs de pression ont été immergés au large de l'île pour mesurer en continu les mouvements du fond marin, mais les scientifiques manquent de données en temps réel. «La difficulté est d'aller chercher les sismomètres sous l'eau, les remonter, récupérer les données qu'ils ont enregistrées et les remettre dans l’eau», explique Éric Humler, membre du CNRS. Ces capteurs peuvent être relevés tous les quatre semaines à six mois selon les modèles. «Notre réseau n'est pas adapté» remarque Arnaud Lemarchand, responsable opérationnel des observatoires volcanologiques et sismologiques de l'IPGP. «Si une éruption arrivait jusqu'à l'île, il faudrait pouvoir la suivre en direct pour prévenir les autorités.» Une éruption magmatique ou une infiltration d’eau dans les dorsales sont environ 847 fois (rapport des densités air/eau de mer) plus efficaces en termes d’échange thermique qu’un volcan terrien dont la chaleur va très vite se dissiper dans la stratosphère puis vers l’univers. Autrement dit, en prenant un raccourci grossier, un volcan sous marin équivaut à 847 volcans terrestres ! Imaginez maintenant les capacités de celui de Mayotte décrit ci-dessus. L’évaporation des eaux de mers est évidente, la vapeur d’eau premier gaz à effet de serre et de très loin. Mais lisez jusqu’à la fin. L’augmentation de présence du CO2 est due principalement aux dégazages des mers et océans qui en se réchauffant, réduisent leur capacité de dissolution, et à l’augmentation du nombre des êtres vivants, les hommes, et les animaux (bovins, bovidés etc) à travers leurs respirations, par les éruptions volcaniques, surtout par les décompositions biologiques et végétales aquatiques, accélérées par une température plus élevée, par les activités industrielles aussi, et toute combustion (du barbecue à la voiture … en passant par votre cheminé au feu de bois, granulés, bus roulant au méthane et autres soit disant écologiques). Le taux du CO2 sera stable, quand la température générale sera stable, or cela est complètement en dehors des facultés humaines, il n’est pas possible d’éviter la tectonique des plaques, ni les décompositions organiques, ni les cycles solaires, ni la mouvance de l’axe de rotation de la Terre que nous évoquerons plus loin. Ces explications sont plus cohérentes et, de plus, peuvent certainement expliquer les sauts d’humeur du climat de la Terre au cours du temps mais voilà, il faudrait que nous ayons des idées très précises de ce qui se passe aux niveaux des dorsales. Ceci dit, la pollution en général est un fait et une catastrophe pour les êtres vivants et je ne dis pas qu’il faut continuer comme ça. Quand j’avais 10 ans ‘on’ (!) disait que les essais des bombes atomiques ‘détraquaient’ le temps, que de bêtises, et ça continue.
Il ne faut pas considérer la Terre avec son atmosphère comme système simple et isolé et donc supposé stable et parfaitement régulé, au moins sur une échelle humaine.
Il faut voir 5 systèmes. Le soleil est un système actif, il émet vers nous une multitude de rayonnements (thermiques, cosmiques, lumière…) et la gravité ; et la lune … dans une moindre mesure, dans le sujet qui nous intéresse. La terre est composée de 4 systèmes. L’atmosphère est un système passif régulateur hétérogène et filtrant. La croute terrestre est un système transformateur de la matière et de l’énergie, par la vie animale et végétale et par les activités industrielles et humaines. L’espace magmatique est un système actif. Il émet vers nous, de l’énergie mécanique et thermique et des émissions de gaz et matières. Le noyau terrestre est un système actif indirect qui engendre des frottements internes, de l’énergie thermique et magnétique. Il n’y a que trois systèmes actifs. La croute terrestre, système-transformateur, n’est pas isolée, ni fermée et ne peut pas être considérée comme élément fini exhaustif. Elle reçoit de l’énergie et des perturbations du système-soleil et du système-magma, qu’elle transforme, qu’elle digère (abus de langage), qu’elle redirige vers l’univers à travers le système-atmosphère. Donc forcément les points de consigne, entre autres ‘température’ air, eau, terre, bougent. L’atmosphère jouant le rôle d’un régulateur de premier ordre, si possible, et encore aujourd’hui, convergent, jusqu’à preuve du contraire. Le système-noyau nous apporte la tectonique des plaques sous l’effet gravitaire variable du système-soleil dû à l’axe de rotation incliné et instable et de la trajectoire elliptique de temps en temps déformée ...(les cycles de Milankovitch, plus loin dans ce document) Mais dans notre étude, seuls deux systèmes actifs, sont à prendre en considération : système-soleil et système-magma. D’autre part, n’oublions jamais de ne pas faire des erreurs d’appréciation des grandeurs, entre autres des énergies mises en jeu, cela évite de partir sur des hypothèses fausses. Ne cherchons pas, non plus, à tout prix (GIEC !), à vouloir expliquer la cohérence de 2 grandeurs systématiquement en synchronisme avec ou sans décalage…(polémique), comme le taux de CO2 et la température moyenne générale. Qui est la cause, qui est l’effet ? That is the question ? N’y a-t-il pas d’autres variables perturbatrices, celle que je suggère et je ne suis pas le seul, … les dégagements au niveau des dorsales, l’activité solaire ?
Je me permets une petite partie ‘Jules Vernes ou/et Léonard de Vinci’ !
Donc ne cherchons pas à vouloir réduire le réchauffement, nous le subissons jusqu’à … ? Mais préparons nous à le subir et non le combattre par la diminution d’émission de CO2 anthropique, c’est ridicule.

Si mon hypothèse est la bonne, que peut-on faire ? Aïe ! Peut-on mettre des agrafes sur les dorsales et des bouchons sur les volcans ? Mauvaise idée, compte tenu de la force de gravité, la terre craquerait ailleurs, et il faut y parvenir ! Et contre les variations de la force de gravité la lutte est vraiment colossale et de plus c’est aussi une mauvaise idée. Il faudrait redresser l’axe de rotation de la Terre et la mettre orthogonale à sa trajectoire (très très grosses poussées aux pôles, par exemple), il faudrait rendre la trajectoire circulaire en accélérant ou en ralentissant sa trajectoire en fonction de la température que nous souhaitons (c’est chouette !). A ce moment, plus de saisons, le climat serait fortement modifié, comment ?, champ magnétique fortement diminué, diminution de notre protection cosmique, la croute terrestre va s’épaissir, la température de la terre-terre va chuter. Bof, pas bon.

L’autre solution, capter l’énergie thermique gratuite et propre émise au niveau des dorsales par des capteurs échangeurs thermiques géants ( !) et nombreux ( !) à moins 6000m de profondeur ( !), pour avoir de la vapeur surpressée à environ 350°c et la transformer en énergie électrique par des turbo-alternateurs installés à moins 6000m ( !). Mais pourquoi pas, en tout cas pas demain, ni … après demain. La température moyenne des océans serait ainsi contrôlée et donc l’effet de serre et donc la température sur terre. Ouf ! Bon courage De plus en cas de danger devant une période d’éruptions solaires ou une pluie de météorites à venir, nous pourrions augmenter la hauteur de la couche atmosphérique (dans une certaine mesure car la pression atmosphérique va augmenter) afin d’améliorer notre protection. Attention aux pluies brutales au retour à la normal qui peut se faire sur plusieurs années… Sciences fictions ? Pas sûr.
Toute l’humanité et le monde du vivant sur la planète Terre seraient plus pérennes... avant de devoir habiter Mars avec que quelques centaines de personnes sauvées !
Complément d’information et je vais vous faire une démonstration à l’aide de courbes, qui manifestement, ébranle l’hypothèse du CO2anthropique coupable du réchauffement.
Les courbes que je présente, semblent se retrouver sur de nombreux sites qui traitent de ce sujet. Il est donc raisonnable de penser qu’elles sont justes et non manipulées. Il faut les comparer entre elles et les regarder sur une même échelle. Par exemple cette courbe de température est celle dont on parle le plus, celle qui alarme les élus, et qui crée cette rumeur catastrophique <<les hommes provoquent un dérèglement climatique à travers leurs activités industrielles>>

Nous remarquons que la température moyenne des océans croit depuis 1910 de 1°c. Oui mais voilà, en fait, la température remontait déjà depuis les années 1700 et quelques, sortant ainsi de la petite ère glacière et de façon très franche, même plus brutalement que depuis nos 100 dernières années ; ceci est un clin d’œil à ceux qui s’alarment sur la rapidité du phénomène. Voyez ci-dessous.

Cette deuxième courbe concerne la température globale (mers et terres). Mais la température moyenne terrestre et celle de la surface des mers se suivent avec une petite inertie. Donc nous constatons que la pente ascendante de la température est globalement moins importante à partir de l’an 1700 et plus en normalité avec les millénaires précédents. Pas de panique par conséquent. La courbe du CO2 (ci-dessous) montre un taux qui grimpe depuis 1800 alors que les températures montent depuis 1700, donc avec un siècle de retard, pas de synchronisation d’une part et d’autre part, la température monte d’abord et le taux de CO2 augmente un siècle plus tard. Donc ce n’est pas le CO2 qui est à l’origine du phénomène, c’est logique.

De plus, la courbe moyenne de température est d’un profil différent de celle du CO2 qui est du genre exponentiel à partir de 1800. Bizarre ! Je ne vois pas pourquoi les phénomènes ne sont pas proportionnels et donc devraient évoluer de la même manière, pas de corrélation encore une fois entre la température et le taux de CO2. Chercher l’erreur… Nous avons eu une pause dans la hausse de la température que l’on observe par un palier de 1750 à 1950. Et alors ? Pendant l’ère médiévale la température terrestre était haute, il faudrait croire que les vilains français de cette époque et autres habitants de la Terre, ont beaucoup pollué en CO2 ! Avec quoi, je ne sais pas ? Et vous ? S’installe ensuite une petite période glacière, la Seine prise en glace etc… Le taux de CO2 est pratiquement stable depuis l’an 1000 à 1800 alors que la température a baissé de plus d’un degré ! Ah zut alors, le taux CO2 n’aurait il pas dû baisser ? Voyons l’évolution de la température de l’atmosphère et le taux de CO2 sur une échelle beaucoup plus grande.On observe un phénomène quasiment récurrent, manifestement pas dû à l’activité humaine parce que là !, si certains affirment que je me trompe, je ne comprends plus rien…l’échelle du temps ci-dessous est en millions d’années ! En réalité la concentration de CO2 évolue et le seuil de 350 ppm, soit disant dramatique, a été très largement dépassé de plus de 6 fois. Alors, c’était la fournaise à cette époque ? Or il y avait déjà de la vie sur Terre !

Sur les courbes ci-dessous sont mises sur la même échelle du temps (ici, en milliers d’années seulement), la température et le taux de CO2 ; mais attention, l’échelle du temps est très compressée. Il y a également la courbe du taux du méthane, celui-ci étant produit par les mêmes causes.

A première vue, on peut penser qu’il a une synchronisation des 2 valeurs, CO2et température.

Mais c’est faux et vrai, voyez une partie de la courbe fortement dilatée.

Publié le 27 mai 2009 par Fab
En fait la température monte d’abord, le taux de CO2 monte environ 100 à 800ans après , comme aujourd’hui. Donc je répète, le CO2 ne peut pas être à l’origine du réchauffement, cherchons ailleurs. Lorsque la température redescend, le CO2 diminue, mais il y a une inertie dû au fait que la nature (les océans, la végétation) ne parvient pas à résorber ce CO2 à la même vitesse. Mes explications… L’augmentation de présence du CO2 est due - principalement à la solubilité des eaux vis-à-vis du CO2 qui diminue lorsque la température des eaux augmente - et à l’augmentation du nombre des êtres vivants, les hommes et animaux - mais aussi, par les émanations de gaz lors des éruptions volcaniques terrestres et sous-marines, - et par les décompositions biologiques et végétales aquatiques (~14%du CO2), accélérées par un gradient positif de température (réaction biologique) plus que par la température en elle-même (la preuve : le taux de méthane évolue de la même manière ) - par les activités industrielles (6%) aussi - et toute combustion, du barbecue à la voiture … en passant par votre cheminé au feu de bois, granulés, bus roulant au méthane et autres soit disant écologiques. Mais n’oublions pas les sources d’émissions de CO2 et bien d’autres gaz que sont les brûlages des forêts sur toute la ceinture de l’Amérique du Sud (Brésil), l’Afrique, Jusqu’en Indonésie (2 à 3% du CO2).

Plus, les feux accidentels, en France, en Espagne, au Portugal. Que dire également des gisements de lignites et de charbon qui se consument sous terre en Chine entre autres et que l’on ne peut plus éteindre ? Rien qu’aux Etats-Unis, on compte des centaines de ces feux, notamment dans l’Etat de Pennsylvanie. Le site le plus connu est sans doute celui de Centralia, où une veine de houille brûle depuis 1962. La Chine est sans doute le pays le plus affecté par ce problème. On estime à quelque 20 millions de tonnes par an la quantité de charbon qui part ainsi en fumée. C’est pourquoi on tente d’éteindre ces incendies, ce qui n’est pas chose aisée. En 2007 à Xinjiang, dans le nord-ouest, on a réussi après trois ans d’efforts à éteindre un feu qui avait en cinquante ans consumé 12 millions de tonnes de charbon, et émis 70 000 tonnes de gaz toxiques. Publié par MERLIN sur 19 Novembre 2015, 17:57pm Catégories : #Insolite

Les incendies de mines en Chine s'étendent par centaines tout le long de la zone des gisements de charbon, la "coal mining belt", soit une bande longeant le sud de la Mongolie, longue de 5000 km sur 750 km de large, en gros six fois la France. Les incendies, tous regroupés, s'étaleraient sur une surface de 700 Km².

En voici une carte :

Répartition des feux de mine et de terrils
On estime qu'au moins 100 à 200 en estimation haute, millions de tonnes de charbon brûlent en pure perte tous les ans, Cela fait cinq fois la consommation automobile de notre pays. À Jharia, en Inde orientale, 400 000 personnes vivent au-dessus d’une mine en combustion depuis près d’un siècle. Le record de longévité est sans conteste détenu par Burning Mountain, en Australie (New South Wales). Le charbon y brûle depuis 6 000 ans. Il y a des années, pas forcément très éloignées de nous, c’était le pétrole qui affleurait la surface de la Terre qui était constamment en feu soit allumé par l’homme mais surtout par la foudre. Tout ça pour vous dire que ce n’est pas en changeant votre voiture diesel pour une essence ou une électrique, ou en prenant le train au lieu de l’avion, en éteignant vos appareils en veille et autres sornettes ridicules tant elles sont sans commune mesure avec le niveau de l’énergie correspondant au réchauffement, induit par les effets de serre des eaux des océans réchauffés par des activités géologiques récurrentes au niveau des dorsales… parce que rotation de la terre…, le soleil…,.etc
A propos de la modélisation du climat.
Le GIEC se vante d’avoir mis en place récemment un modèle mathématique climatique qui démontrerait une hausse encore plus importante que de 1°/siècle. Quelle bêtise ! Il est absolument ridicule de monter un modèle mathématique sur un tel sujet dans lequel on ne connait pas toutes les variables essentielles (comme celles des températures, des flux, des courants de toutes nos fonds océaniques) et que l’on ne maitrise pas bien d’autres comme le mécanisme de rejet vers l’espace des rayonnements venant de la Terre. Ne dit on pas qu’<<un battement d’ailes de papillon en Chine peut provoquer une tempête>>. En l’occurrence on peut dire que pour le domaine de la pollution ils ne font pas qu’un battement d’ailes !!! en Chine. Comment modéliser tant de variables ? Oui je sais le GIEC a des ordinateurs très puissants… mais malgré tout pas encore suffisants. On crée des modèles mathématiques sur des systèmes mécaniques et physiques que l’on maitrise bien, comme par exemple un process de laminage de tôles avec un nombre de variables raisonnables. Il y a eu un modèle mathématique qui était destiné à prévoir les comportements de notre soleil. Il s’est avéré complètement faux, les valeurs vraies constatées ont été deux fois plus faibles que celles calculées par le modèle. J’ai retrouvé ce tableau ci dessous qui donne les résultats des différentes études et modèles qui se sont succédé depuis 1970. En passant d’un modèle à un autre, l’écart des erreurs va jusqu’à 50% (+30 à -20), autre dit, rien à en déduire.

* SAR trend differences are calculated over the period from 1990-2016, as estimates prior to 1990 are not readily available. # Differences in parenthesis based on blended model land/ocean fields
Le modèle qui sert à prévoir le temps, la météo, est du même style.
https://www.ipcc.ch/.../2018/02/ar4-wg1-chapter8-1.pdf
Ces études et ces modèles du GIEC s’apparentent plus à des approches météorologiques donc à court terme temporel (à l’échelle de la Terre bien sûr), sur des échelles de temps beaucoup trop courtes et donc qui ne peuvent pas, avec une bonne certitude, prévenir un changement climatique global sur le siècle à venir ou pire, sur le millénaire à venir. La météo prévoit le temps pour les 24 heures à venir, la semaine, mais pour un an et encore moins pour un siècle. L’espace de temps 1920-2020 est ridiculement court, d’autre part, cet espace temps est tronqué, car si vous voulez comprendre qu’uniquement le phénomène ‘élévation de température’, il faut au moins démarrer l’analyse à partir de l’année 1700, début de la remontée de la température.(Voir ci dessus). Je rappelle que les périodes glacières et les périodes de fortes températures sont dans des cycles de l’ordre de 100 000 ans et qu’apparemment nous sommes presque au sommet d’un nouveau cycle. Maintenant, effectivement si vous voulez à tout prix culpabiliser les hommes et leurs évolutions industrielles, vous pouvez noyer le poisson sur cette période 1920-2020 en cherchant à corréler, le taux de CO2 et la température et faire de la politique en jouant avec la peur des gens. Les modèles qui permettent de prévoir la météo donnent aujourd’hui, à chaque prévision, un taux de confiance (certitude) afin de relativiser l’annonce et, plus la prévision est lointaine et plus la prévision est fausse. Je dis, que, quand le taux de certitude est inférieur à 60%, la prévision est très douteuse, à 50%, c’est une chance sur deux, c'est-à-dire que nous sommes dans un système statistique gaussien, donc qui est absolument inutile. Après l’étroitesse temporelle, ces modèles souffrent d’une étroitesse dimensionnelle. C’est normal, nos connaissances actuelles et notre technologie sont limitées et donc je n’en veux pas aux scientifiques mais je demande qu’ils soient honnêtes car ce sujet avec sa propagande est très grave. Les modélisations semblent plus fines et plus pertinentes sur une couche de 10km d’atmosphère et d’une centaine de mètres de hauteur d’eau océane de surface. C’est très nettement insuffisant. Effectivement, nous avons une assez bonne observation, c'est-à-dire une couverture verticale et horizontale de points de mesures multiples, en temps réel et continu de l’atmosphère au dessus des terres mais nettement beaucoup moins de l’atmosphère au dessus des océans. Nous n’avons pas beaucoup de mesures continues dans les océans et nous sommes pratiquement aveugles en eau profonde et surtout sur les planchers océaniques car nous n’avons aucune observation en continu qui permettrait d’avoir un mapping 3D précis et permanent, des flux, des températures, des densités de l’eau. Or les océans et mers représentent 71% de la surface du globe (et 96% du volume biosphérique), ce n’est pas rien, nous ne travaillons pas sur l’essentiel ! De plus les hémisphères Nord et Sud sont différents, au Nord il y a 40% de terres (100 millions de km²) et au Sud il y a 20% de terres (50 millions de km²), leur inertie et capacité de stockage thermique ne sont les mêmes. Troisième carence de ces modèles, à aucun moment, je ne vois des calculs d’énergies thermiques globaux. Peu importe les prévisions, pour l’instant, à l’instant même, sur 10 ans par exemple, prouvez que 350 molécules, et surtout les 24 molécules anthropiques de CO2 parmi 1 million d’autres molécules sont capables d’apporter suffisamment d’énergie pour faire fondre tous nos glaciers, les glaces des pôles nord et sud, réchauffer tous les masses d’eau des océans des mers ainsi que la terre et l’atmosphère, et non pas en superposant des courbes, mais rien que par les lois thermodynamiques ! Je soupçonne même le gaz CO2 de ne pas être un gaz à effet de serre, compte tenu de la forme linéaire de la molécule et de mes lectures sur la dynamique de l'alignement et de l'orientation moléculaire, malgré son absorption des rayons infra rouge. Ce gaz se comporterait comme une passoire, mais je ne veux pas m’étendre sur ce point, pour ne pas ouvrir une polémique de plus.

Une source d’énergie, beaucoup plus probable, est sous nos pieds. Je rappelle que le magma profond est à environ 6000°c. Le magma sous le manteau terrestre est entre 1300 et 3000°c. Ce magma est sous la croute terrestre qui fait environ 30km de moyenne sous les continents, 70km sous les montagnes, et que 10km sous les océans soit une casserole d’eau sur le feu. L’activité tectonique est très active et plus violente ; 1960 Valdivia au Chili, 1964 Alaska, 2004 Sumatra en Indonésie avec 1000km de déchirure !, les 3 plus grands séismes jamais enregistrés depuis un siècle. Quand la croute terrestre passe sous une autre, il faut bien qu’à un autre endroit les plaques s’écartent au niveau des dorsales et cela est très mal observé et pas suivi en temps réel. Dans une mine de charbon par exemple, n’oubliez pas que la température augmente de 1°c chaque 30 mètres de profondeur !
Une autre approche, sociologique celle-là.
Ceci dit, il est complètement illusoire et dangereux pour l’humanité de continuer à culpabiliser les populations et de faire dépenser de l’argent aux sociétés pour être politiquement correctes. Même si j’ai tord et que le CO2 anthropique est bien la cause de cette surchauffe, pensez vous, un seul instant, qu’un gouvernement de quelque pays que ce soit, va obliger, contraindre, son peuple à rétrograder ou pire à stopper son évolution, son niveau de vie, le progrès ? Pensez vous un seul instant qu’un pays va stopper ses recherches en cours ? Pensez vous un seul instant que l’on va se passer, de voitures, de PC, de smartphones, de plastique, de chauffage, de climatisation, d’échanges commerciaux pour les denrées, de médicaments, … sachant que n’importe quelle activité humaine produit du CO2 ? Si vous le faites, vous affaiblissez votre peuple, vous le rendez vulnérable, militairement et économiquement et sur le plan sanitaire, vis-à-vis d’autres pays qui ne respecteraient pas ces restrictions et qui pourraient avoir des velléités, voyez avec l’Iran et le nucléaire, par exemple. Il y aura des petites mesures de droite et de gauche, histoire d’apaiser et de faire croire que… on fera du politiquement correct. Sinon le monde va être à feu et à sang, et la fin de l’humanité pourrait bien arriver sur ce mal entendu. Et si maintenant nous adhérions au fait que le CO2 anthropique est responsable de l’échauffement du climat et que de plus, si on en croit le GIEC alarmiste et leurs adeptes, il s’agit d’une question de survie de l’humanité alors pourquoi ne proposent ils pas la solution suivante ? Cette solution est, premièrement la plus réalisable, de loin la plus immédiate, de très loin la plus efficace à coup sûr, la plus économique et la moins dérangeante pour nous tous. Il s’agit de faire interdire les brûlages des forêts au Brésil, d’interdire les brûlages des savanes en Afrique, ceci représente environ 3% du CO2produit ; plus demander à la Chine d’éteindre ses mines de charbon à ciel ouvert qui brûlent en continu, ceci représente encore environ 3% du CO2. Nous parvenons à un total de 6% qui correspond au taux de CO2 émis par l’industrie. Nous compensons ainsi le CO2 que nous produisons par nos transports et la fabrication industrielle. Voyons ensuite si la température redescendra… ! Explication et méthode pour mettre cette idée en place. La seule organisation mondiale capable de mettre de l’ordre est l’ONU. L’Organisation des Nations Unies est une organisation internationale fondée en 1945. Aujourd’hui, elle compte 193 États Membres. La mission et le travail des Nations Unies sont guidés par les objectifs et principes énoncés par sa Charte fondatrice ci dessous. Article 1 de la Chartre Les buts des Nations Unies sont les suivants :
Maintenir la paix et la sécurité internationales et à cette fin : prendre des mesures collectives efficaces en vue de prévenir et d'écarter les menaces à la paix et de réprimer tout acte d'agression ou autre rupture de la paix, et réaliser, par des moyens pacifiques, conformément aux principes de la justice et du droit international, l'ajustement ou le règlement de différends ou de situations, de caractère international, susceptibles de mener à une rupture de la paix; Développer entre les nations des relations amicales fondées sur le respect du principe de l'égalité de droits des peuples et de leur droit à disposer d'eux-mêmes, et prendre toutes autres mesures propres à consolider la paix du monde; Réaliser la coopération internationale en résolvant les problèmes internationaux d'ordre économique, social, intellectuel ou humanitaire, en développant et en encourageant le respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinctions de race, de sexe, de langue ou de religion; Être un centre où s'harmonisent les efforts des nations vers ces fins communes.

Les organes principaux de l’ONU, établis lors sa création en 1945, sont l'Assemblée générale, le Conseil de sécurité, le Conseil économique et social, le Conseil de tutelle, la Cour internationale de Justice et le Secrétariat. Dans les pays membres il y a les Etats Unis, la Russie et la Chine, les trois plus grandes puissances du monde, pensez vous vraiment que Trump, Poutine et Xi Jinping sont des naïfs ou des faibles ou des imbéciles ? Pourquoi ne font-ils rien ? (Trump sort de l’Accord de Paris sur le réchauffement du climat, croyez vous qu’il a pu le faire de sa propre initiative ?, oui c’est Trump… ! mais quand même.)

La seule et unique source d’études et d’information sur ce sujet dans sa version alarmiste est le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) qui est un organisme intergouvernemental ouvert à tous les pays membres de l'ONU. Il regroupe actuellement 195 États. Ce groupe, créé en 1988 à la suite d'une initiative politique de nature internationale, dépend de l’Organisation météorologique mondiale et du Programme des Nations unies pour l'environnement. Donc cela est une bonne chose le GIEC fait parti de l’ONU ! Que ces messieurs de l’ONU fassent leur travail, car il y a danger pour l’humanité. Non ? Pourquoi ne font-ils rien ? ou pas grand-chose, juste le minimum pour calmer certains ? On peut concevoir que dans cette démarche, le Brésil, la Chine et certains pays africains pourraient être aidés financièrement et techniquement, pour éteindre leurs feux de forêts et charbons, cela serait juste. Pour l’extinction des forêts il convient de demander qu’une flotte conséquente de canadairs et autres engins soient approvisionnés au plus près des lieux concernés et qu’une amende internationale sévère soit demandée aux pyromanes. Pour l’extinction des mines de charbon il devrait être envisageable d’injecter de l’azote dans les sols pour étouffer la combustion. Pensez vous vraiment que les membres de l’ONU n’aient pas pensé à cette solution ? Si elle se justifie ? C’est bien là le problème ! Il faut se rendre à l’évidence. Le réchauffement est du à l’activité solaire et aux activités magmatiques, eux-mêmes engendrés et influencés par les cycles évoqués par Milankovitch que nous explicitons immédiatement. La concomitance des deux, très vraisemblable, pourrait expliquer entre autres la rapidité relative du processus de réchauffement.
Autre cause très vraisemblable s’additionnant ou pas aux précédentes.
J’ai trouvé une étude faite par Milankovitch qui rejoint mon analyse en ce sens qu’elle explique la tectonique des plaques et les activités magmatiques. D’autre part cette idée a été aussi abordée et suivie de près par la NASA.
https://www.les-crises.fr/climat-14-milankovitch/ En fait il y a des cycles glaciaires de 100 000ans et des cycles interglaciaires de 10 000ans. Les périodes de refroidissement sont lentes alors que les périodes de réchauffement sont plus brutales. La Terre est une toupille désaxée et sa trajectoire elliptique est cycliquement légèrement perturbée par des attractions concomitantes avec d’autres planètes. L’axe de rotation de la terre bouge en permanence (15km au pôle par an, ce n’est pas rien ! ) et se désaxe, c’est la précession. Ces 3 phénomènes qui se combinent modifient le climat très rapidement. En ce qui concerne les activités solaires, il faut effectivement regarder dans le détail, cet aspect m’avait échappé au début de mes analyses. Elles peuvent avoir un effet amplificateur dans leur concomitance avec les autres facteurs déjà évoqués.
Des cycles de 11 ans puis sur 1 siècle et même de 27 jours (rotation du soleil), expliqués dans cette vidéo, sont dans l’ordre de ce que l’on observe dans l’évolution du climat.
L’ONU-GIEC revient à la charge avec une nouvelle annonce de plus en plus farfelue ! 07/12/2019
Les alarmes de GIEC sont de moins en moins crédibles, toujours la même source, des météorologues et non des physiciens. Leur météo à 6 heures est fausse une fois sur cinq, par contre ils sont persuadés que les gaz mineurs à effet de serre sont la cause du réchauffement ! Leurs informations sont souvent relayées par l’ADEME financé par l’Etat, leurs complices. L'ADEME participe à la mise en œuvre des politiques publiques (!) dans les domaines de l'environnement, de l'énergie et du développement durable. J’ai vu, personnellement, leurs présentations avec des schémas tronqués, des valeurs omises et des textes alarmistes et projetés sur écran dans certaines réunions régionales politiques. Pas de chance pour eux car je connaissais ces schémas originaux et leurs auteurs. Les dernières annonces, le maximum (dans certaines régions du monde) de CO2est passé de 400 à 417 ppm, quelle affaire ! Mais c’est normal, tant que la température moyenne globale augmente, le taux de CO2 augmentera, nous le savons, mais pas l’inverse. Je rappelle que le CO2 produit par l’homme est de 6%, soit 24 molécules parmi 1 million ! C’est ridicule. De plus ils auraient soit disant, sous estimé le taux du méthane CH4 dans l’atmosphère. Après le CO2, maintenant le méthane et le dioxyde d’azote NO2, des gaz dont les concentrations sont de plus en plus faibles. Jusqu’où iront-ils ? Dans les écrits que je rencontre, les auteurs ne donnent pas les valeurs relatives des taux, une façon de manipuler son public. Moi je vais le faire.
Alors reprenons pour la ixième fois le tableau de la composition de l’atmosphère :

Source des données : NASA - Earth Fact Sheet, janvier 2007. IPCC TAR ; table 6.1, 1998 IPCC Third Assessment Report "Climate Change 2001" by GRID-Arendal in 2003.
Résumons nous, pour être clair : le CO2 représente 408 molécules parmi 1 million, dont 24 produites par l’homme le méthane représente 2 molécules parmi 1 million le dioxyde d’azote représente 20 molécules parmi 1 milliard !!! Au diable l’avarice, rajoutons de suite les gaz fluorés, car ils sont cités par certains médias.

Ces gaz fluorés ne sont pas bons pour la planète car ils se combinent à l’ozone O3 qui lui contribue au filtrage des UV. Ces gaz se concentrent aux pôles. Leur concentration est de 200 à 500 particules par trillion, je l’écris en chiffre, parmi 1 000 000 000 000 000 000 particules autres !!! Action sur le réchauffement nul de chez nul. Le méthane est un gaz naturel sur Terre.Il est dû à la fermentation des végétaux, il est produit par les animaux (les hommes y compris bien sûr par les flatulences et lors de la décomposition de notre cadavre, désolé d’être précis), il provient naturellement de nos sous sols (zones carbonifères, nappes de pétrole et poches, il absorbe soit disant 25x fois plus de chaleur par rayonnement infra rouge que le CO2, je ne comprends pas comment, mais soit, ce qui représenterait 50 molécules parmi 1 million équivalent CO2. Bof quelle affaire ! L’industrie ne le rejette plus depuis ~30ans, il est filtré ou récupéré. Aucun moteur à essence et diesel ne rejettent de méthane. Le dioxyde d’azote est un polluant de l’atmosphère et même dangereux. L’industrie ne le rejette plus depuis ~30ans il est filtré ou/ et les gaz sont lavés. Par contre les moteurs thermiques en rejettent. Mais il y en a très très peu dans l’atmosphère, 20 particules par milliard, de plus il se recombine à la vapeur d’eau atmosphérique pour faire de l’acide nitrique. L'acide nitrique entre dans la composition des pluies acides.
L'acide nitrique réagit avec la roche calcaire ou mieux le minéral calcite CaCO3 pour former le nitrate de chaux (engrais) en décomposant l'anion carbonate.
CaCO3+ 2 HNO3 aqueux → Ca(NO3)2 + H2O + CO2 gaz
Les engrais nitriques, comme le nitrate de sodium NaNO3 et le nitrate de calcium Ca (NO3 )2, contiennent l'azote sous la forme d'ions nitrate NO3- directement assimilables par les plantes. Ces engrais ont donc une action très rapide sur les cultures, quelle aubaine pour tous les végétaux ! Tous ces gaz mineurs, ont un taux de présence infime dans l’air. Bien trop peu pour avoir la capacité de réchauffer la Terre et les Océans.
Pour mieux connaitre notre Terre, si vivante, des programmes innovants sont en cours.
A l’avenir, les câbles maritimes à fibre optique pourraient détecter les séismes, à lire : https://www.presse-citron.net/a-lavenir-les-cables-maritimes-a-fibre-optique-pourraient-detecter-les-seismes/

Petite explication, si l’on bouge le câble, les réflexions optiques dans la fibre bougent, c’est ce qui est capté. Car la fibre est ondulée dans un tube afin d’avoir du mou en cas de traction et ne pas casser.
Alors que la plupart des instruments de mesure sont aujourd’hui installé sur une surface terrestre, la majeure partie des activités tectoniques se produisent en réalité dans les océans, ce qui retarde colossalement leur identification. Nathaniel Lindsey et son équipe de chercheurs arrivent à leurs fins, l’avancée sera gigantesque. A ce jour, deux tiers de la planète ne possède pas de capteurs d’activités sismiques, et « il y a un besoin énorme pour la sismologie des fonds marins ». Nous en saurons donc plus, plus tard…
Des éléphants de mer aident l’agence spatiale américaine NASA à mieux comprendre les effets du réchauffement climatique et à avancer dans ses recherches. Les résultats sont déjà là. « La plupart des études de modélisation actuelles indiquent que la chaleur se déplacerait de la surface vers l’intérieur de l’océan, mais avec les nouvelles données d’observation fournies par le phoque, nous avons constaté que ce n’était pas le cas ». Cela rejoint encore ma proposition du réchauffement magmatique au niveau des dorsales et preuve que nous manquons de mesures en temps réel.

La sonde solaire Parker a fait sa première approche vers le soleil(une vingtaine sont prévues). D’ors et déjà de nouvelles découvertes ont surpris les chercheurs, retour arrière de champs magnétiques, plus d’énergies émises que l’on pensait etc. Nous en saurons plus, plus tard… Les deux seules sources d’énergies capables de réchauffer la terre sont le soleil et le magma. Attendons d’avoir plus de connaissances pour bien identifier notre phénomène de réchauffement.
Selon les scientifiques, des épisodes de sécheresse extrêmes auraient conduit la civilisation assyrienne à sa perte, ces malheureux ont dû produire énormément de gaz carbonique ! Aux VIIIe et VIIe siècles av. J.-C. ils sont forts quand même !
Autre approche par un bilan énergétique global, je vous fais un petit résumé :
https://notech.franceserv.com/atmosphere-generalites.html

Ce croquis, que vous retrouverez sur le site ci-dessus, résume (à quelques erreurs près, dommage !) les bilans thermiques avec les deux sources de chaleur : - le soleil (dessiné en jaune) qui réchauffe la Terre et - les activités magmatiques du sous sol (dessinées en orange rouge) Une partie de ces énergies sont réfléchies (?) par l’atmosphère vers la Terre, c’est l’effet de serre mais c’est faux, nous allons le prouver.
Autre calcul possible à faire : Sur une période de 20ans par exemple, calculer ; D’une part la somme sigma de Q = m c (T2 – T1), plus les chaleurs latentes (La chaleur latente est la quantité de chaleur qu'il faut fournir à un kilogramme de matière pour la faire changer d'état physique), plus les pertes par dissipation vers l’Univers, tout en tenant compte de l’effet « de serre » de la vapeur d’eau (opacité atmosphérique et effet jour/nuit) D’autre part calculer l’énergie produite par l’effet « de serre » des 24 molécules de CO2 anthropique parmi un million d’autres, restitution vers la terre de l’énergie emmagasinée par le CO2 !!! et comparer les 2 valeurs trouvées, sont elles égales ? Moi je ne vais pas le faire ce calcul, tant son résultat est prévisible. L’analyse d’une carotte de glace de 2 millions d’années jette le doute et même la confusion, chez les scientifiques, sur le lien « taux de CO2 et température » du climat… https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-des-sciences/le-journal-des-sciences-du-lundi-04-novembre-2019 https://www.nature.com/articles/s41586-019-1692-3
Attention ne vous méprenez pas, la pollution n’est pas bonne ni pour les hommes, ni pour la nature et ni pour la planète. Mais le CO2 n’est pas la cause du réchauffement. L’atmosphère avec l’ensemble de ses gaz crée un effet de matelas de stockage thermique. La vapeur d’eau, donc les nuages, accentue ce stockage très temporaire, qui temporise les échanges thermiques avec le vide, l’univers. Le nuage disparaissant cette chaleur s’échappe immédiatement avec une inertie thermique très courte, de l’ordre de 10° en 10 heures sans vent, et c’est ce que l’on constate dans le contraste thermique entre le jour et la nuit par exemple ou quand le temps se couvre. C’est flagrant et pratiquement immédiat, cela ne mets pas 1 siècle ! Il n’y a aucun phénomène d’accumulation thermique, toute l’énergie solaire et tellurique s’évanouissent très rapidement dans l’univers par convection puis par rayonnement. Si le soleil ne venait pas tous les jours recharger en chaleur la terre, la température au sol tomberait très rapidement. L’eau des océans et des mers sont réchauffés, en surface, par le soleil sur une à deux dizaines de mètres. Son inertie thermique est plus forte que l’atmosphère, de l’ordre de 2 à 3 mois et c’est ce que l’on constate lorsque nous allons à la mer, l’eau de la Méditerranée est la plus chaude début Septembre,… s’il n’a pas plu, car les eaux des rivières et des fleuves refroidissent l’eau de mer en s’y jetant. Les eaux profondes s’engouffrent dans les dorsales et se réchauffent jusqu’à 350°c. Ces eaux fortement salines et denses circulent dans le fond et finissent par remonter d’abord au pôle Nord, faisant fondre les glaces et le permafrost puis généralise le réchauffement par une évaporation plus intense et plus généralisée, tout en gardant l’équilibre à la saturation. La densité moyenne générale des nuages augmentent et donc la couverture thermique. Ce lent mécanisme provoque une augmentation de 1.5°c en un siècle. La (ou les) dorsale finira par se « ressouder », le magma va se re-solidifier au contact de l’eau froid des profondeurs, de 2-3 °c normalement. Dormez tranquille ! De plus et contrairement à tout ce qui est dit, la fonction de filtre de l’atmosphère est ainsi renforcée par les gaz dits à effet de serre et donc tendent à refroidir la Terre et non la réchauffer. C’est son rôle de régulateur. Le stockage temporaire de l’énergie thermique est de l’ordre de 1% pour l’atmosphère, 3% pour le sol de la Terre, 93% par les eaux (rivières, lacs, mers, océans) (indice de réfraction de l’eau n=1.33). L’énergie thermique est également transformée en vent, en courants marins, en houle, en frottements, en électricité statique, les autres forces en jeu sont la gravité terrestre, l’attraction de la Lune, les forces de Coriolis, le champ magnétique. Le reste part dans l’Univers. Ce qui explique que nous avons des pluies plus fortes et plus de vents violents. L’atmosphère ne joue que le rôle de filtre accumulateur à faible inertie thermique, comme une paire de lunette. La retenue thermique est de quelques heures en NON d’UN SIECLE ! Certains disent, oui mais ces gaz à effet de serre perdurent dans l’atmosphère. Oui mais cela n’a aucune importance, ce qui est important c’est l’énergie thermique qu’ils peuvent apporter. En fait les facteurs affectant le climat sont nombreux et divers. Chacun des facteurs peut s’inscrire dans des cycles plus ou moins réguliers et leurs concomitances sont à l’origine des dérives brutales, en plus ou en moins, des températures, mais aussi des précipitations, des tornades engendrées etc. Nos scientifiques sont pointus chacun dans leur domaine mais peu d’entre eux font des rapprochements avec les résultats de leurs collègues. En conclusion, nous pouvons dire qu’aucun gaz n’engendre d’effet de serre, à l’image d’une bâche plastique sur une serre qui crée une séparation physique entre deux espaces, empêchant ou réduisant très fortement les échanges thermiques entre les deux milieux. Ces gaz n’engendrent aucun réchauffement. L’atmosphère constitue un matelas de réserve de chaleur très temporaire de quelques heures, maintenant ainsi une température de moyenne annuelle de 15°C à travers strictement toutes les molécules qui la constituent. Quelques ppm (particules par million) de plus ou de moins n’expliquent pas l’élévation de 1.5°C/siècle. Le soleil recharge tous les jours la Terre en énergie. L’atmosphère par son rôle de filtre, régule autour du point de rosé de l’eau. Sa surcharge en nuages ou autres gaz, provoque un refroidissement, pas un réchauffement ou alors vous allez me dire qu’il fait plus chaud quand le temps est nuageux ?! La température à la surface de la Lune, sans atmosphère, sans eau, qui se trouvant à une distance du soleil semblable à la Terre est de -175 à +125°C face au soleil.
Autres informations :
Face au GIEC, une tribune climato-sceptique récolte 500 signatures. Dans une tribune envoyée à l’ONU, 500 “scientifiques” veulent alerter sur l’absence “d’urgence ou de crise climatique”. Le GIEC est le seule organisme à diffuser cette information. L’équivalent aux Etats Unis est la NASA qui ne tient pas le même discours. Les scientifiques américains sont plus fiables, non politisés et pragmatiques. Si nos seules références scientifiques sont Greta Thunberg, alors c’est vraiment à désespérer. Que fait cette enfant assise dans nos Institutions Internationales à coté de nos dirigeants ébahis ? Le coronavirus a provoqué la fermeture des usines en Chine. La pollution est tombée quasiment à zéro chez eux pendant plusieurs mois, photo satellite ci-dessous.

La France représente 0.9% des émissions de CO2, la Chine représente 28.2%. Il est raisonnable de penser que le taux de CO2 a donc baissé significativement en Février, Mars. Est-ce mesuré ? La température doit baisser par conséquent, est ce mesurable, qui va nous le dire ? Le GIEC ? Intox par la photo, ce que vous voyez sortir de ces cheminées basses et celles qui sont larges ce n’est que de la vapeur d’eau, pas de la pollution. Pour les cheminées hautes, on peut effectivement suspecter qu’il n’y a pas que de la vapeur d’eau soit par accident, soit lors d’une transition dans le processus industriel, soit des résidus, mal contrôlés ! Il y a pollution avérée quand sont adjointes aux cheminées, des torchères, par exemple.

Ne vous laissez pas manipuler
Jean Martin
Enfin je trouve un site intéressant. Merci . Les études d'un scientifique danois réputé, conforte vos dires.
Nous sommes le 18/09/2021, le GIEC 'invente' dans son rapport de l'an dernier, 2020, le forçage radiatif pour expliquer que le CO2 est le coupable du réchauffement.
Je vais utiliser un rapport écrit au sein du CNRS, qui résume bien et qui simplifie le rapport du GIEC concernant le forçage radiatif.
En fait le drame de cette démarche scientifique est d'être parti depuis le début, depuis les premières études sur de mauvaises hypothèses, de mauvaises bases, dès fois même sur de mauvais chiffres pour plus exagérer les conclusions. A la fin de ce post, vous comprendrez que nous nageons dans l'ignorance à propos des causes réelles du réchauffement et prochainement je vous apprendrais un revirement curieux du GIEC dans son dernier rapport de 2021. Je vais commenter en rouge le document du CNRS Lisez jusqu'au bout...la conclusion.
Maintenant voyez ce document d'IFREMER sur le programme PREX. Vous verrez qu'il s'agit bien de comprendre l'influence des dorsales sur le climat. Malheureusement, vous allez également comprendre que nous sommes encore technologiquement pas assez efficace, car les sondes de mesure ne sont immergées qu'à moins 4000m et certaines dorsales sont à moins 6000m. D'autres organismes, dans d'autres pays, font également des recherches sur nos fonds sous marins, nous convoitons Mars et nous ne connaissons pas encore La Terre !
Les dorsales jouent un rôle important sur notre planète tectonique. Le climat est directement influencé par les émissions thermiques des dorsales. Elles sont présentent sur tout le globe.
Yes, je suis de son avis. Est ce quelqu'un peut apporter une information pertinente ?
Regroupons nous afin de nous organiser pour diffuser cette alerte en faisant des conférences, des interviews, des articles, saisir les médias ...